D'un soir...dames...
Patrice Goré, artiste vendômois, nous propose une prose manuscrite sur du papier Japon numérotée 28/64 dont les gravures et le texte sont de sa main.
La Boussole, médiathèque du réseau lecture publique de la Communauté d'Agglomération de Saint-Dié-des-Vosges, est la première institution d’un territoire associé du Sillon Lorrain à verser des documents numérisés dans Limédia galeries. Un petit pas pour Limédia, un grand pas pour la valorisation du patrimoine local ! Cela augure de futurs partenariats permettant à la bibliothèque numérique de s’enrichir petit à petit.
Près de 1 500 documents issus des collections de la Boussole sont à présent accessibles dans Limédia galeries.
Découvrez le Graduel de la collégiale de Saint-Dié. Ce manuscrit enluminé est un livre de chants réalisé au début du XVIe siècle. En plus d’être magnifiquement décoré, il est connu pour comporter sur un feuillet une des plus anciennes représentation du travail de la mine en France.
En 2016, la Ville de Saint-Dié-des-Vosges faisait l’acquisition du fonds Weick, une collection de milliers de photos et plaques de verre. Vous pourrez en consulter un échantillon de 160 images sur Limédia galeries.
Enfin, comment ne pas être émus devant la première mention historique du mot “ Amérique” pour désigner le “nouveau continent” , dans l’Introduction à la Cosmographie, document de 1507 intégralement disponible en ligne.
Le Graduel
La Cosmographie
Les enluminures "pleine page" du Graduel
Les lettrines "courantes" du Graduel
Les lettres historiées du Graduel
Le lettres italiennes "a bianchi girari" du Graduel
Le fonds Weick
Toutes les collections numérisées de la Boussole.
Patrice Goré, artiste vendômois, nous propose une prose manuscrite sur du papier Japon numérotée 28/64 dont les gravures et le texte sont de sa main.
Découvrez la vie de cette femme à barbe américaine, racontée sous la forme d'une pièce de théâtre.
Durant le mois de juin 1936 un voyageur en provenance de Paris se rend à Saint-Dié pour découvrir les Vosges.
C’est László Moholy-Nagy qui, vers 1925, forge le terme “typophoto”. Pour les avants-gardes, texte et image doivent faire corps pour véhiculer le message. Dès la fin des années vingt, l’usage de la photographie dans la publicité devient de plus en plus fréquent.
Qui peut deviner qu’un tyrosémiophile collectionne les étiquettes de fromages ?